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Table ronde - avec Jennifer Bélanger, Martine Delvaux et Élise Turcotte

  • La Livrerie 1376 Rue Ontario Est Montréal, QC, H2L 1S1 Canada (carte)

La Livrerie, Héliotrope et les éditions Alto ont le plaisir de vous convier à une discussion autour des livres Ça aurait pu être un film de Martine Delvaux et Autoportrait d’une autre d'Élise Turcotte. La discussion sera animée par Jennifer Bélanger.

Cet événement est présenté dans le cadre du Salon du livre de Montréal dans la ville.

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ÇA AURAIT PU ÊTRE UN FILM

C’est l’histoire d’un film qui ne s’est pas fait.

C’est l’histoire de trois artistes, Hollis Jeffcoat,
Joan Mitchell et Jean Paul Riopelle, dont les vies
ont été entremêlées.

C’est l’histoire d’un accident.

C’est l’histoire de la place qu’occupent les femmes dans le monde de l’art.

C’est l’histoire de mon amour pour une artiste,
Hollis Jeffcoat, sur qui j’ai essayé d’écrire un film.

Martine Delvaux fait le récit d’une enquête passionnée, qui s’ouvre dans le Paris des années 1970, sur une jeune peintre américaine inconnue, à l’ombre de deux artistes célèbres.

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MARTINE DELVAUX

Romancière et essayiste féministe, Martine Delvaux est notamment l’autrice de Blanc dehorsLe monde est à toiThelma, Louise & moi et Pompières et pyromanes. Elle a été finaliste à de nombreux prix, et plusieurs de ses livres ont été traduits en anglais et en espagnol. Son essai Le boys club a remporté le Grand Prix du livre de Montréal.

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AUTOPORTRAIT D’UNE AUTRE

Les livres parlent d’apparition et de disparition,
comme le cinéma et le théâtre.
Celui-ci n’est pas tout à fait un roman
ni un récit.
C’est la descente dans un puits,
une cérémonie mexicaine,
une enquête dans la ville.
C’est une photo où une femme apparaît
en personnage oublié.
Une boîte enchantée où mon visage
se dessinerait s’il le pouvait
dans un miroir inversé.

Une écrivaine part sur les traces de sa tante, morte tragiquement des décennies plus tôt. Avec cette femme au destin singulier qui n’a laissé que peu d’écrits, elle amorce une conversation impossible sur l’art, la folie, l’exil, la pensée et la mort, tout en faisant résonner un faisceau de correspondances poétiques.

Élise Turcotte dessine une généalogie de la tristesse et de la création, et pose son regard sur celles qui nous ont précédés, sur ce qu’elles nous apprennent sur nous-mêmes et ce qu’elles nous permettent d’imaginer. Parce que toutes les histoires, même les vraies, sont des fictions.

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ÉLISE TURCOTTE

Poète, nouvelliste et romancière, Élise Turcotte a été maintes fois récompensée pour son travail. Elle a notamment remporté le Grand Prix du livre de Montréal pour Guyana (Leméac, 2011), deux Prix littéraires du Gouverneur général, pour son roman La maison étrangère (Leméac, 2002) et pour son recueil de poèmes destiné à la jeunesse Rose : derrière le rideau de la folie (La courte échelle, 2009), ainsi que le prix Ringuet de l'Académie des lettres du Québec pour L'apparition du chevreuil (Alto, 2019). En 2011, le Conseil des arts et des lettres du Québec lui a rendu hommage en lui décernant l’une de ses prestigieuses bourses de carrière.

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